(image source: CUP)
Cambridge University Press will publish thirteen volumes in the series The Cambridge History of International Law. The first volume (The Historiography of International Law, eds. Randall Lesaffer & Anne Peters) is announced for May 2024. Your humble servant authored the chapter "The Historiography of International Law on the European Continent".
Abstract:
Volume I of The Cambridge History of International Law introduces the historiography of international law as a field of scholarship. After a general introduction to the purposes and design of the series, Part 1 of this volume highlights the diversity of the field in terms of methodologies, disciplinary approaches, and perspectives that have informed both older and newer historiographies in the recent three decades of its rapid expansion. Part 2 surveys the history of international legal history writing from different regions of the world, spanning roughly the past two centuries. The book therefore offers the most complete treatment of the historical development and current state of international law history writing, using both a global and an interdisciplinary perspective.
Contributors:
Randall Lesaffer, Anne Peters, Nehal Bhuta, Mark Somos, Giovanni Mantilla, Carsten-Andreas Schulz, Christopher Casey, Keun-Gwan Lee, Inge Van Hulle, Frederik Dhondt, Lauri Mälksoo, David Armitage, Ignacio de la Rasilla, John Fabian Witt, Arnulf Becker Lorca
More information with the publisher.
Coordinates for vol. 1: ISBN 9781108767651, DOI 10.1017/9781108767651.
Abstract:
Known as a journalist or 'compiler', Jean Rousset de Missy (1682-1762) contributed on the to the world's first treaty collections, the Corps Universel Diplomatique du Droit des Gens (1726-1731, edited by Jean Dumont). This contribution focuses on Les Intérêts présens des puissances de l'Europe (1733), a two-volume work published to serve as a practical alternative to the 8 volumes in-f° of the Corps Universel. Rousset discusses treaty obligations undertaken by sovereign entities, and links them up with an analysis of their long-term geopolitical interests. I sketch the impact of the Peace Treaties of Utrecht (1713) on Rousset's work, and argue that his treatment of the matter gives a unique insight into argumentative strategies. Parties in a quarrel use arguments drawn from the law of nature, Roman law, canon law, customary law, feudal law or domestic law, and only seldom refer to law of nations doctrine. Rousset's synthesis at the end of every section is representative of diplomatic practice in his time. Treaties contained political compromises. In order to be effective, they needed precedence over domestic norms. In a final section, I examine Rousset's treatment of Savoy and Spain after 1713.
Read the chapter (as well as those by Cyril Clerbout, Sébastien Evrard, Maki Fukuda, Pascal Hepner, Felipe Hernandez, Caroline Laske, Tanguy Le Marc’hadour, Paul Van Peteghem and Christian Pfister-Langanay) here: DOI 10.34847/nkl.8cde5896 or below.
I wrote a commentary on Julia Martinez-Ariño's interesting study on the bottom-up reinterpretation and appropriation of laïcité in various French urban contexts below the threshold of the metropoles.
My and other commentaries, as well as the author's response, can be retrieved in the second issue of the fifth volume of Secular Studies (DOI 10.1163/25892525-bja10053).
My thanks to the author and journal editor Niels De Nutte (VUB/SSAB) for the opportunity and invitation.
The Belgian Revolution of 1830 associates the people to regime change. The Civic Guard, created at this juncture, further evolves within a bourgeois context, with furthermore unequal capacity in local government across the country. We study the genesis of the triad "army - gendarmerie - civic guard" and its evolution in the Belle Époque. The civic guard's end after World War One and the effective introduction of conscription create a new relationship between citizens and soldiers.
Thanks to VUB student-researchers Max Van den Bosch and Senne De Kerpel.
More information here.
Abstract:
The concepts ‘rebel’ and ‘pirate’ abound in eighteenth-century political discourse. These categories can be used to place individuals outside of the political arena and the protection of the law of nations. The present contribution focuses on the epithet ‘rebel’ or ‘pirate’ in the complex negotiations on the amendment and confirmation of the European peace order established at the end of the War of the Spanish Succession (1701/1702-1713/1715). Delving into British and French diplomatic correspondence, successive examples of ‘rebels’ or ‘pirates’ come to the fore, from Brittany over Scotland, Catalunya, the Jacobites and Neapolitan privateers, to arrested Spanish and Swedish diplomats. Alliances and status of enmity between sovereigns were not necessarily conclusive, hence the importance of an ambiguous continuum of potential positions.
Read the full ebook here in open access.
Ik werd gisteren geïnterviewd door Hélène Maquet (RTBf) voor het programma Déclic op La Première. Het gesprek kan hier worden herbeluisterd.
L'on a tenu ce matin une assemblée dans la grande salle du Palais apélé [sic] ici vulgairement la Cour & qui est l'endroit où les Gouverneurs Generaux des Païs-bas font leur residence & leur demeure ord[inai]re.
La salle etoit ornée tout autour de tapisseries fort anciennes, que l'on trouve magnifiques, & que des particuliers ont offert de decrasser & de remetre [sic] dans une espece de lustre. Ce sont les mêmes tapisseries qui furent tendües lorsque Charles quint Emp[ereu]r se demit de la couronne en faveur des Princes ses Enfans.
Elles ont eté faites du tems de Philippe le Bon duc de Brabant & Comte de Flandres qui institua l'ordre de la Toison d'or & mourut en 1467. Celles du fond representoient le sacre du Roi de france fait à Rheims, le Roi etant assis sur un trône, aïant a sa droite les Pairs Laïcs & à sa gauche les Pairs Ecclesiastiques. celles des deux côtés de la sale representent les histoire de Gedeon, de David &a.
Au fond de la salle, il y avoit une Estrade ou élevation de cinq degrés, bâtie des debris des corps de garde que le Marquis de Prié avoit construits dans la ville de Brusselles.
Le trône consistoit en un dais de velours rouge avec une crepine d'or, audessous le Portrait de l'Empereur, & un fauteuil doublé aussi de velours rouge.
Aux deux cotés du trône c'est à dire à droit [sic] & à gauche, il y avoit trois bancs couverts d'un tapis de Turquie.
Vis à vis le trône, c'est à dire le milieu de la place & du parterre, il y avoit douze bancs, couverts chacun d'un morceau de drap rouge.
La salle etoit separee par un cloison à hauteur d'apui [sic], & il restoit ainsi un espace vide pour tout le commun des assistans.
[v°]
au bout de la salle & vis à vis du trone, il y avoit trois galleries, toutes trois ornées ou couvertes aussi au drap rouge, excepté la 3e & la plus elevée, qui avoit de plus un tapis de velours rouge, qui comprenoit justement le milieu de cette gallerie. Elles etoient aussi ornées des Portraits des Ducs de Brabant.
Dans cette salle ainsi parée, les Deputés [sic] des Etats sont entrés à dix heures & demie, sans dstinction & comme ils se trouvoient. Ils se sont ensuite placés sur les bancs du parterre dans l'ordre suivant.
Les Deputés de Brabant avec leur Pensionnaire sur les premiers bancs; ensuite ceux de Limbourg, de Gueldres, de Luxembourg, de Flandres, d'Ipres, du Hainaut, de Namur, de Tournay & de Malines, soit en tout dix deputations.
Etant donc ainsi placés Mr. le mareschal Daun Gouverneur-general est venu, suivi du Conseil d'Etat & accompagné de six Pages & de six herauts & il s'est assis dans le fauteuil sous le dais.
Le Conseil d'Etat s'est placé savoir ceux d'épée droite, le Duc d'aremberg, le Prince de Ligne & le Prince de Rubempré Chevaliers de la Toison d'or s'y trouvant comme conseillers; & ceux de Robe se sont assis une partie à droite derriere les Chevaliers de la Toison d'or, & le reste à gauche.
Le grand audiancier etoit assis auprés du Gouverneur general, à droit [sic], éloigné toutes fois de lui à une certaine distance.
Le Comte Mastein Lieutenant-commandant de compagnie des archers, etoit à la droite du même Gouverneur & le comte de Maldeghem, capitaine de hallebardiers & de plus conseiller d'épée d'Etat, etoit à sa gauche; les Pages & les herauts d'armes etoient debout.
Les archers qui en partie avoient fait une suite & en partie avoient suivis le gouverneur general sont entrés dans l'enceinte & ont bordé l'assemblée à droit [sic] & à gauche. Les hallebariders sous demeurés pêlemême avec les assistans hors de l'enceinte.
f. 309r°
Les archers sont appelés la garde-noble, & pour entrer dans un corps, il falloit autrefois etre noble, ou du moins avoir servi dans les troupes en qualité d'officier.
Madame la mareschale Dhaun, & la jeune comtesse sa belle fille, etoient placées dans la gallerie d'en haut & plusieurs dames de qualité, comme la Princesse de la Tour & autres, s'y sont aussi trouvées.
Dans la seconde gallerie etoient les trompettes & les timbales, qui ont commencé à jouer dabor [sic] que le gouverneur general est entré dans la salle.
La 3e gallerie d'en bas etoit occupée par les Dames du commun.
L'assemblée ainsi composée, le comte d'Elissem - doien du Conseil d'Etat, s'est avancé vers les Deputés auxquels il a fait une petite harangue sur le sujet de leur convocation. Ensuite le grand audiancier a commancé par lire tout haut & assis l'acte de l'Empereur qui donnoit plein pouvoir & authorisoit le mareschal Dhaun pour assembler les Etats & leur faire connaître ses volontés à ce sujet-là.
Aprés cela il a continué par lire un autre papier ecrit en langue bourguignone [sic]. Car c'est ainsi que l'on appelle la langue françoise dans les archives du païs. Cet acte que toutes les provinces avoient deja reçus chacune en particulier, contenoit la disposition que l'Empereur feroit de tous ses Etats & païs hereditaires, en faveur des Princesses ses filles au defaut d'enfans mâles, ensorte que lesdits païs devoient passer à l'ainée desdites Princesses, & en cas de même defaut du côté de cette Princesse, il apelle au méme heritage la cadette & de suite ses soeurs & enfin ses nieces filles du feu Emp[ereu]r. Joseph son frere & mariées aux Princes de Baviere & de Saxe.
Les Deputés des Etats avoient dés la veille, remis entre les mains du Gouverneur g[é]n[éra]l, la ratification que les Provinces avoient deja faites de cet acte des le tems du Marquis de Prié, & elle etoit contenuë dans le plein pouvoir qu'elles leur avoient donné
[v°]
pour se trouver à cette nouvelle assemblée.
On la fut lire en françois et en langue Brabançonne, c'est à dire bas Allemand ou Flamand. Ce qui etant fait, l'on a joué une musique de la Trompette & des timbales, & dans le même tems un heraut d'armes s'est avancé vers les Deputés & leur a dit: Messeieurs, son Exce vous prie à table.
L'assemblée a fini de la sorte, & le Gouverneur s'est retiré de la même maniére qu'il etoit venu au son des Trompettes & des Timballes.
Il n'y a eu au dîner que les Deputés des Etats. Il y avoit seulement 74. couverts. La table a eté servie abondamment & delicatement à deux fois 130. plats & 18. relevés. L'on a bû copieusement les santés de l'Empereur, de l'Imperatrice, de l'archiduchesse &a à chacune desquelles on repondoit par le son des trompettes & des timballes placées sur une gallerie qui donne dans le parc.
Le Buffet etoit composé de tout ce qu'il y avoit de curieux, puisque les principaux de la noblesse y avoient envoié ce qu'ils avoient de plus beau.
Il y a eu un dessert magnifique de 147. couverts d'office & trés proprement servi en toutes sortes de confitures & de sucrerie trés bien travaillées avec les devises & representant toutes sortes de figures, d'oiseaux, d'abrisseaux &a. La piece du milieu, un aigle de sucre posé sur une grosse boule tenant une couronne qu'il sembloit presenter à l'archiduchesse aussi representée. L'ouvrage etoit orné de piliers, de galleries, de balustrades &a. Le tout etoit de sucre.
A la fin du repas tout le dessert fut donné au pillage à la foule des assistans & à la populace.
L'on avoit suspendu au milieu de la table un arbre d'argent artistement fait, composé de plusieurs branches & orné d'un trés bel email bleu. Il a eté travaillé du tems de l'Electeur de Bavière.
(image: le gouverneur-général Max Emmanuel II, électeur de Bavière; source: Wikimedia Commons)
Bibliographie: Klaas Van Gelder & Sandra Hertel, "Die Mission des Grafen von Daun in Brüssel 1725. Ein Wendepunkt in der Regierung der Österreichischen Niederlande", ZHF 2011.
This contribution to the Festschrift of Prof. G. Gornig sheds light on a famous 18th century manuscript on the institutional structure of the Austrian Low Countries. I first illustrate the author's unique position (I), before delving into the issues of allegiance, taxation and consent (II).
Thanks to student-reseachers Max Van den Bosch and Senne De Kerpel, as well as to Leen Elewaut for help with Transkribus and proofreading.
See publisher's website.
Ik antwoordde op een vraag van de Volkskrant in het kader van het Frankrijk-panel dat deze krant regelmatig raadpleegt. Lees meer hier.
De Leuvense collega's van de OE Romeins Recht en Rechtsgeschiedenis organiseerden de 24ste Belgisch-Nederlandse Rechtshistorische Dagen. Ik had het genoegen er een lezing te mogen geven.
Abstract:
Burggraaf Goswin Arnold de Wynants (1661-1732) geniet enige discrete bekendheid als alumnus van de Leuvense rechtenfaculteit, advocaat en raadsheer bij de Raad van Brabant te Brussel en topadviseur van Keizer Karel VI (1685-1740) in Wenen en Praag bij de Hoge Raad voor de Nederlanden. Zijn illustere schoonzoon Patrice-François de Neny (1716-1784) is de auteur van het standaardwerk Mémoires historiques et politiques sur les Pays-Bas autrichiens. Wynants wijdde zelf twee intrigerende manuscripten aan de instellingen van de Oostenrijkse Nederlanden (1730) en de fiscale constitutie van het hertogdom Brabant (1723). Beide onuitgegeven werken (Conscience-erfgoedbibliotheek Antwerpen; KBR) werden gedigitaliseerd en met de Pylaia HTR-technologie (Transkribus) geanalyseerd. De stellingen van deze dienaar van het centrale gezag werden eerder als regalistisch (en impliciet jansenistisch) gekarakteriseerd: Wynants houdt een restrictieve interpretatie van belastingvrijstellingen aan, verzet zich tegen ambtsverkoop en kijkt kritisch naar het discours van adel, clerus en ambachten. Binnen- en buitenlandse doctrine (Van Espen, Choppin, Le Bret, Christyn, Anselmo, Stockmans, Tuldenus …), middeleeuwse charters, vroegmoderne ordonnanties en uiteraard de rechtspraak van de (soevereine) Raad van Brabant (waarvan Wynants’ rechtspraakverzameling postuum werd gepubliceerd in 1744) kruiden een heldere en informele schrijfstijl. Gezien het belang van de Brabantse traditie in de vertogen van zowel de Brabantse Omwenteling (1787, 1789-1790) als de Belgische revolutie (1830-1831) is de constitutionele theorie van Wynants bijzonder boeiend. Hij verdedigt met hand en tand het verbod om belastingen te heffen zonder instemming van de staten. In zijn ogen gaat het om een natuurrechtelijk en oorspronkelijk recht, en geenszins om een (positiefrechtelijk en dus herroepbaar) privilege. Vorst (in Brabant: hertog, ongeacht andere titels) en onderdanen zijn aan elkaar gebonden in een wederkerige relatie. Hun gedeelde belang geldt als uitgangspunt van elk juridisch redeneringsproces, van de interpretatie van constitutionele documenten en wetgeving tot de beslechting van individuele geschillen.
Ik sprak vandaag met Riadh Bahri over de reactie van president Macron op de pensioenprotesten en het gebruik van artikel 49.3.
Dit gesprek kan hier worden bekeken.
Ik schreef een stukje voor De Morgen rond de reactiemogelijkheden van de Franse president op de grote pensioenprotesten en de nipte toepassing van artikel 49.3 van de Grondwet van de Vijfde Republiek. Lees het hier.
Ik was te gast bij TerZake op vrijdag 17 maart, bij Radio 1 (De Wereld Vandaag) op donderdag 16 maart, in De Morgen en Het Belang van Limburg op zaterdag 18 maart... om over artikel 49.3 en de Franse pensioenhervorming duiding te verschaffen (zie links).
Ik sprak gisteren met Ruth Roets (Radio 1) op De Wereld Vandaag over het inroepen van artikel 49 alinea 3 van de Franse Grondwet van de Vijfde Republiek in het debat over de pensioenhervorming.
Het interview kan hier worden herbeluisterd (rond 36:17).
En réponse à l'appel de Carta Academica, votre humble serviteur a rédigé une chronique pour le journal belge Le Soir. Il y est revenu sur le débat actuel en Flandre sur l'utilisation publique de l'histoire.
Ik schreef een column voor De Morgen over de spectaculaire straatbetogingen en stakingen in Frankrijk, gekoppeld aan een historisch werk (Danièle Tartakowsky (dir.), Histoire de la rue, Tallandier, 2022) en een politicologische enquête over het succes van het RN (Luc Rouban, La vraie victoire du RN, Presses de Sciences Po, 2022).
Lees de column hier.
Op donderdag 19 januari gaf ik een interview aan Stavros Kelepouris (De Morgen 20 januari 2023), de tekst kan hier worden nagelezen.
Ik werd vandaag door Sofie Gebruers (VRT Max) geïnterviewd rond het sociaal protest tegen de pensioenhervorming van de regering-Borne. Herbeluister hier.
